Femme Actuelle crée l’événement en lançant sa « Bourse pour l’emploi », une initiative soutenue par Nadine Morano, Secrétaire d’Etat à la Famille, et Nora Bera, Secrétaire d’Etat chargée des Aînés.
Une première dans l’histoire de la presse magazine. Via un site internet dédié www.emploi.femmeactuelle.fr (https://www.emploi.femmeactuelle.fr/) et le plein soutien du magazine, un service concret est offert à toutes celles et ceux qui, parmi les 8 millions de lecteurs et d’internautes de Femme Actuelle, recherchent un nouveau travail, souhaitent rebondir ou changer de voie.
Dès à présent, plus de 15 000 offres d’emploi sont en ligne. Après une inscription très simple, quelques clics suffisent pour accéder à plus de 15 000 offres d’emploi diversifiées dans les métiers et les secteurs d’activité, et réparties sur tout le territoire. Mais le site propose également une véritable « boîte à outils » : conseils personnalisés pour le CV, moteur de recherche, comparateur de salaires, tests d’orientation… bref toute la panoplie indispensable aux personnes qui cherchent un emploi.
En partenariat avec le groupe Studyrama Vocatis, Femme Actuelle a mobilisé de nombreux acteurs (le Ministère du travail, la Fédération de la vente directe (FVD), la FEPEM, le Ministère de la Défense…) pour proposer ces offres, dont une grande partie en avant-première!
Ce site a enfin 2 spécificités à signaler : ses offres sont particulièrement adaptées aux femmes et les employeurs trouvent là un outil gratuit inédit pour toucher les femmes.
Loïc Guilloux, Editeur du pôle féminin de Prisma Presse précise : « Le service aux femmes est depuis toujours la préoccupation centrale de Femme Actuelle et Internet nous permet de le déployer avec encore plus d’efficacité et d’interactivité. Après le lancement de enfant.com (nov. 2008) et celui de FA-vacances.fr (fév. 2009), nous répondons avec ce nouveau site à une problématique cruciale de la vie des femmes. Femme Actuelle, qui fête cette année ses 25 ans, reste plus que jamais le leader de la presse féminine française, et se devait donc très logiquement de mettre sa puissance au service de l’emploi des femmes ».